Résumé :
Aoi est une jeune adolescente de quinze ans. La jeune fille est en couple avec un jeune garçon prénomé Sasuke, au grand damne de sa pire ennemie, Sakura. Aoi est une fille épanouie, toujours de bonne humeur, prête à rendre service. Alors qu'elle vivait le - presque - parfait grand amour avec Sasuke, sa mère lui annonça un soir qu'elles accueilleraient son cousin, Naoya, dix-sept ans. Aoi eut la surprise de sa vie en découvrant quelqu'un de totalement différent de ce qu'elle avait imaginé. Naoya est un jeune gothique, passionné de musique, rebelle. Aoi commença alors à éprouver des sentiments incestes à l'égard de ce jeune homme intriguant...
La fiction se passe sous forme de narration à la troisième personne, accompagnée d'extraits du journal intime de la jeune Aoi. (bah oui, c'est pas Naoya qui va en tenir un de journal...)
L'histoire se passe à Okinawa, pour changer un peu de l'habituel "Tokyo" ou "Konoha" ou autre village de Naruto.
Personnages : Aoi, Naoya, Sasuke, Isao, Sakura, et d'autres si j'ai envie u.u
~~ Prologue ~~
Nous sommes le 17 Janvier. Aoi, quatorze ans, ouvre ses rideau et observe. Observe quoi? Elle observe les allentours, l'herbe verte et humide par la rosée, qui reflète merveilleusement les reflets du soleil. Habillée d'une simple nuisette transparente, elle descend les escaliers, tout en consultant son portable. Ses longs cheveux bruns et ondulés sont attachés à la va vite en chignon mal fait. Plusieurs mèches folles, rebelles encadre son visage pâle. Un sourire passa sur son visage lorsqu'elle s'apperçut qu'elle avait reçu environ une dizaine de messages. Tous de la même personne. Sasuke... Ô Sasuke toi qui hante les rêves les plus fous de notre jeune Aoi. Si seulement il savait ce qui l'attendait...
Aoi stopa nette sa course. Pour aller dans la cuisine, il fallait descendre les escaliers, lesquels menaient directement à l'entrée. La cuisine se trouvait cinq mètres en face de la porte d'entrée. C'est à ce moment là que Aoi vit pour la première fois Naoya. Elle était en train de taper un texto, habillée d'un fin voile en tissu transparent qui laissait apparaitre sa jolie petite culotte en dentelle blanche et sa poitrine... Découverte sous la nuisette. Aoi ouvrit de grands yeux, et par réflexe croisa les bras sur sa généreuse poitrine. L'adolescente était bien roulée, et elle le savait. Elle était parmis les filles les plus jolies du bahut. Elle faisait partie de ce genre de fille qui ont tout pour elle, beauté, intelligence, petit-ami super canon, et qui le savent. Aoi n'était pas superficielle. Elle ne se maquillait jamais, ne faisait guère d'effort pour se coiffer. Et ma foi... Ca lui réussissait. Naoya leva les yeux de son I-pod. Il regarda Aoi, tranquillement, et rebaissa les yeux pour choisir son morceau, comme s'il n'avait pas été impressionné par la beauté de Aoi. Et le pire, c'est que c'était le cas. Alors qu'elle s'apprêtait à questionner le jeune inconnu, sa mère sortit en trombes de la cuisine. Elle avança d'un pas rapide vers l'inconnu. Aoi haussa les sourcils. Ayumi, la mère d'Aoi, était une femme grande, étrangement belle, aux longs cheveux blonds et frisés, elle avait été mariée à un certain Arû, père de Aoi, décédé brutalement suite à un accident du travail. Elle lui tendit... Un verre d'eau. Tout ce cirque pour un verre d'eau.
- "Aoi... Voici Naoya.... Vous vous êtes déjà rencontrés plus jeunes il me semble ! Aoi.... C'est quoi cette tenue?! Bon... Attend, viens ! Tu nous excuse Naoya hein..."
Elle entraina Aoi vers la cuisine, et ferma la porte derrière elle. Aoi n'ouvrit pas la bouche, encore éberluée de ce qui avait pu se passer. Allez savoir pourquoi, sa mère était dans tous ses états.
- "Aoi..." commença Ayumi avec un regard inquisiteur, "tu savais bien pourtant que Naoya devait venir aujourd'hui ! C'est ton cousin, tu te rappelle? Ton cousin du côté de ta mère, c'est-à-dire moi. Nous... Nous allons nous occuper de lui durant le reste de l'année, jusqu'à Janvier prochain. "
Cousin? Aujourd'hui? Jusqu'à Janvier?! Aoi appuya son dos contre le mur, et se mit à réfléchir. Tout ça allait compremettre ses "plans" qu'elle avait mis au point avec Sasuke. Ayumi devait sortir tout le week end, et elle avait prévu d'inviter Sasuke à la maison pour qu'ils puissent dormir ensemble un week-end entier, et, plus si affinité. Etait-ce utile de préciser que Aoi était encore vierge? Oui, je pense, et vu que du haut de ses quatorze plumeaux elle semble en faire dix-huit, c'est ce qu'on pourrait qualifier d'exploie international... Elle se mordilla nerveusement le bout de son pouce droit, oubliant complètement qu'elle était dans une tenue très peu adaptée pour être exposée au jour le jour à travers la porte fenêtre de sa cuisine. Justement, à ce moment là, un jeune homme blond, dont le regard trainait un peu partout par-ci par-là (notament vers la maison de Aoi), travaillant comme employé chez la famille de cette dernière, en tant de jardinier. Oui, il était comme quasiment tous les autres, il flashait sur Aoi. Aoi aurait pu être nommée Calypso, si si, j'vous assure. D'ailleurs, sa mère avait hésité à la rebaptiser comme ceci en voyant sa beauté s'accroître de jours en jours. La porte de la cuisine s'ouvrit, propulsant Aoi contre la porte-fenêtre. Naoya venait d'ouvrir la porte, avec une grande force. Vu que celle-ci était bloquée, il s'était vu contraint de forcer le passage, que croyez vous? Le jardinier, en train de déblayer la neige qui se trouvait sur la terrasse, loucha sur la poitrine de Aoi avant de rougir fortement. La jeune femme, vexée, les bras en croix sur sa poitrine, se retourna pour donner un monumental coup de pied de bienvenue à son cousin...
- "Rhôô... C'est bon", fit ce dernier en bloquant son pied "tu vas pas criser pour deux implants mammaires..."
Aoi ouvrit de grands yeux, ainsi que sa mère. De toute évidence, il n'avait pas été de la même manière que Aoi, et ça se sentait. Bien sûr, Ayumi savait que la famille de sa soeur n'avait jamais été très équilibrée, mais au point qu'il en devienne comme ça, tout de même... Mais elle ne fit aucune remarque, de peur de vexer le garçon qui était aussi craint qu'un prince dans cette demeure. Pour cause, il avait été spécifié à Ayumi que le garçon était connu des services publiques pour emportements. Mais ces emportements en question n'étaient pas dû au hasard. Ils étaient dû au fait que Naoya avait perdu ses deux parents, sous ses yeux, et que personne n'avait jamais trouvé le moyen de l'aider, ni même de le comprendre.