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 Les Ombres

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itachi
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MessageSujet: Les Ombres   Les Ombres Icon_minitimeMar 24 Nov - 11:42

Voilà plusieurs moi que je suis en mode retrenscription d'une histoire que je vais mettre ici ( bah oui, pour passer le temps en ce jour de grève ) mais si vous ne voulais pas attendre, le début y est aussi sur tuer-de-naissance.skyrock.com

Bonne lecture dsd

Il y a toujours des jours ainsi, où l'on se sent suivit, espionné, surveillé mais, lorsque l'on ce retourne, on découvre que l'on est seul, entièrement seul. Mais comme en être sur, comme être persuadé qu'il n'y a que votre ombre qui vous suit ? Je suis assez bien placé pour vous le dire, j'étais là, c'était moi qui vous suiviez sans que vous ne vous en rendiez compte. Dû moins pas totalement. Je fais partie d'un monde qui n'existe que dans les rêves les plus fous des habitants des asiles... Mais le sont ils autant que ça, eux qui ont réussi à voir ce qui vous reste caché? Bien sûr, après tout, le gouvernement est fait pour cacher mon monde, je n'aurais même pas dû écrire une ligne, vous suivre l'autre jour, comprendre que c'était vous, vous qui alliez peut être comprendre ma vie.
Comprenez le, il n'y a pas que votre ombre qui vous suit.
Dans mon monde, le nom que nous ont donné nos parents nous est inconnu, c'est ainsi, je me nomme Jeanne, mais mon nom intérieur n'est autre que Sombra. Dans mon monde, vous n'êtes ici que dans un seul but, accomplir les tâches que d'autre trouverait trop salissante. Nous n'existons pas, nulle part, personne ne signal la disparition d'un enfant, personne ne sait que vous êtes nait, personne à part eux. Dans mon monde, vous ne connaissez personne aussi bien que vous et chaque personne du même monde que moi et peut être celui qui recevra l'ordre de me tuer. C'est ainsi, qui va à la chasse perd la tête. Dans mon monde, nous sommes les assassins de la nuit, ceux qui exécutes, eux sont ceux qui juges, vous êtes ceux qui subissez. Nous ne pouvons aller en prison, d'autre y vont à notre place, nous ne pouvons tomber malade, les vaccins que vos chercheur cherche, nous les avons chez nous. Dans mon monde, nous ne vivons pas vraiment et nous ne mourons pas vraiment non plus. La vie nous est privée dès la naissance, ne connaissant qu'un monde de persécution et de crainte. La mort n'est pas à porté de notre main car, lorsque nos corps sont donné à la science, c'est parce que nous n'avons pas d'identité. Les rares figures de notre monde sont inhumées dans les catacombes de la bâtisse. Peut être, qui sait, que j'irais là bas, c'est le seul rêve que nous avons, le seul lien que nous avons qu'ils ne veulent pas nous briser. Dans mon monde je suis l'une des meilleurs et donc l'une des plus en danger. Dans mon monde, la réussite symbolise la mort. Dans mon monde, comme dans toute société, nous avons nos croyances et nos bibles. Nos croyance et nos prophéties, nos croyance et La prophétie : la prophétie du Jour. Selon les textes, une ombre grandira au dessus des autres, développera des sentiments et, sous la bannière du changement, proclamera l'air de la Vie en refusant de tuer. Une prophétie oublié de tous depuis des lustres, une prophétie dont moi-même j'ignorais l'existence. Dans mon monde je suis Sombra, dans le votre je ne suis qu'une ombre... Et c'est bien ce que mon nom veut dire...Je sais très bien qu'écrire maintenant ne sert plus à rien, pourtant je le fais. Pourquoi ? Parce que vous, qui un jour mourriez de la main d'un de mes confrères ou consœurs, avaient le droit de savoir ce que nous vivons. Vous avez le droit de connaître l'histoire de vos meurtriers. Je n'attends pas de vous un élan de passion ou de haine, je m'en moque. Les années m'aurons durci. Je tien seulement à ce que vous lisiez ceci, jusqu'à la fin. C'est mon seul testament.
C'est à la naissance, avant que nos premier souvenirs ce créé, que nous somme prit pour être mit dans l'organisation nommé CPM : Centre de Personnification de la Mort. Cette organisation, comme nous, n'existe pas, seul certaine personne la connaisse, et encore pas réellement. Même le président l'ignore. Dès nos premier pas, on nous inculque la plus dure des disciples et la concurrence éternelle pour qu'aucun lien d'amitié ne se lie entre nous et si, par un heureux hasard, un lien se crée tout de même, ils s'arrangent pour le détruire dans les années qui viennent. Dans nos six premières années, nous ne pouvons pas prendre conscience dans quel mécanisme nous somme, nous ne protestons donc pas. Dès nos sept ans, en plus des exercices de sport quotidien, l'histoire des pays du monde nous est inculqué et répété jusqu'à que nous connaissions toute les figures de toutes les époques de toute les nations. Cela est tant que, lorsque nous atteignons nos dix ans, nos allure n'on rien à voir avec celle d'enfant. Nous somme de petite boule de muscle entrainé à la vitesse et la discrétion. Mais cela est encore si doux... Dès que sonne l'âge des dix ans, le jour même de notre soit disant anniversaire, un homme habillé tout de noir arrive et prend l'enfant pour l'emmener dans la deuxième partie de sa vie. De mes yeux d'enfant, j'ai toujours eu peur, comme les autres, de ce jour. Nous étions si terroriser de voir nos compagnons disparaître les uns après les autres que nous prions tout les Dieux que nous connaissions pour qu'ils nous permettre de rester à jamais à neuf ans. Si nous avions le malheur de regarder le malheureux trainé en dehors de la salle, nous récoltions des coups de cane dans le dos, à terre, devant tout le monde. C'était la première étape. L'enseignement pas la terreur, le respect par la crainte. Nos classes n'étaient qu'une grande salle dans laquelle une femme au regard horrible nous regardait, assit en tailleur, répéter nos leçon. Dans mon coin, le plus loin d'elle que je pouvais sans mériter des coups de canes, je l'observais en me forçant de ne pas pleurer. Pourtant, un jour, j'ai cédée. Terrorisé pour avoir vu la fille qui partageait ma chambre être emmenait, je n'ai su lui répondre lorsqu'elle m'interrogea sur la politique de la Grèce au neuvième siècle. Pour la première fois, ce matin là, je ressue une correction assurément trop sévère pour le crime commit. Mais je n'avais pas à donner mon opinion, même pas à réfléchir. Suivant son ordre, j'ai mis mes mains de jeune fille sur le sol si froid que nos fessiers avaient à endurer tout les jours, je me suis allongée, et j'ai attendu. Attendu que la douleur passe au fur et à mesure dès coups en tentant de retenir mes cris et mes pleures. Plus je faisais de bruit, plus de larme tombaient, plus je souffrais. Cette dame ne cessait de nous dire « Vous verrez pire plus tard, supportez en silence car sinon, quand vous perdrez l'usage d'un membre et que vous crierez, l'ennemi connaître votre position et vous tueras. » Dès paroles très dure mais si vrai. Je n'ai aucun respect pour elle, mais, avec le recule, je me rends compte combien ça tâche était dure à elle aussi. Elle donnait à ses nouvelles recrues la terreur qu'elle avait eu elle-même enfant. Mais cela n'adoucissait pas son regard et ses gestes, au contraire. Au fond d'elle, elle savait ce qui allait se passer, au fond d'elle, elle se souvenait de tous ce qu'elle avait enduré et savait que, parmi la quarantaine d'enfant devant elle, seul cinq vivrais jusqu'à leur vingt ans, sept tout au plus. Après cette correction, elle n'eu plus jamais à me rappeler à l'ordre car, désormais, je portais sur mon dos mes première cicatrices, à l'époque ensanglantés, d'une longue liste. Tomber malade ou ce blesser revient à ce tuer. Les dirigeants ordonnent à des personnes qui nous sont proches de nous abattre « pour le bien de la confrérie ». A partir de notre blessure, c'est ce faire tuer ou être tué, une sorte de sélection naturel des Ombres si l'on peut dire. Les rares personnes que j'ai vu revenir on gagné un immense respect au près des autres car cela témoignait de leur forces puisque car, même blessé, ils arrivaient à tuer une personne qui à pleinement usage de tout ses membres. Il arrivait couramment, ils s'arrangeaient pour que ce soit quasiment la seule solution, qu'avoir un ami blessé représentait à recevoir, dans la seconde qui suivait l'admission de l'apprenti à l'infirmerie, une lettre pour son exécution. La loi de la nature, somme nous des Humains ? Non, mais sommes nous des animaux pour autant ? Non plus. Nous somme des Ombres, des fantômes, des êtres sans chaire ni identité, sans vie ni souvenir, sans bonheur ni amour. Nous somme les Ombres du vivant, la mort qui prend sa vie pour permettre à la notre de continuer.

Le jour qui finalement devait arriver arriva. Le jour exacte de mes dix ans, alors que je franchissais dans la plus grande peur la porte de ma salle, tout le monde me regard avec une once d'anxiété dans le regard. C'était mon tour mais si, par la plus grande inadvertance de ma part, je contrariais le bourreau, je recevais tout de même des coups de cane. Un démarche lourde ce fit entendre, le silence s'installa petit à petit. Au fur et à mesure que les pas s'approchaient, je sentais les murs se rapprochait de moi, toute personne qui aurait pu m'apporter un quelconque réconfort avec un regard disparaissait, j'étais seule, seule face à mon destin. Une ombre apparut derrière la porte, les bruits de pas cessèrent alors que la poignée se tourna. C'était mon heure et j'étais seule, entièrement seul. Est – ce que les autres avaient ressenti la même frustration, est – ce que les suivants la ressentiraient ? Même maintenant, je crois avoir était l'une des seules à avoir prit conscience à cette instant que nous étions si seul, si livré à nous même. Nous le savions tous au fond de nous même mais personne n'osait se le revendiquer, le clamer haut et fort, pourtant, pourtant cela nous aurait sûrement aidé par la suite. Nous avions étaient élevé dans un respect de la solitude des autres et de la sienne qu'ils nous étaient devenu impossible de croire que des gens, ailleurs, vivaient autrement. Ce ne pouvait exister. Lorsque la porte s'ouvrit totalement, je fus tétanisé. L'homme qui avait emmené tant d'enfant s'avançait désormais vers moi. Du haut de mes dix ans, je ne voyais qu'une chose : lui m'entrainant. Il me tendit la main pour que je le suive et, comme tous les autres, je ne fis que la regarder apeurée. Il s'approcha encore plus pour me prendre dans ses bras et m'emmener pour ce que nous appelions la mort, mais, à ce moment, je réagis différemment. C'était peut être de la que j'ai puisé mon courage par la suite, le faite de me souvenir qu'âgée de tout juste dix ans, j'avais quitté pour toujours la meute. Devant la menace qui plané au dessus de moi et qui avançait dans ma direction d'une manière peut accueillante, je me suis levait et j'ai couru au fond de la classe. Jamais aucun enfant n'avait osé lui tenir tête et il n'aima pas cela. Toujours sans prononcer le moindre mot, il me suivit tant dis que je changeais sans cesse de lui. Au bout d'un court instant il s'énerva et écarta tous ce qui se trouvait sur son passage, enfant et objet, à grand coup de main. Quand il m'attrapa, bien que je hurlais à la mort, il me traina dehors, ne faisant rien pour abréger ma souffrance. Je parvins tout de même à m'accrocher à la porte et, comme seule récompense, l'homme me frappa durement de toutes ses forces. Je lâchais prise, à demi conscience, me laissant traîner par terre comme une moins que rien. Oui, c'est de ce souvenir de rébellion que mon espérance et mon courage me sont toujours venu. En basculant dans les ténèbres, je savais que je n'allais pas rêver, nous n'avions jamais rêvé. Il n'y avait qu'une suite interminable de cauchemar dans laquelle nous risquions de perdre la tête à chaque instant.

C'est de cette manière que je quittai mon enfance insouciante pour entrer dans le dur monde des apprentis Ombres.

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